H.A.R.I
H.A.R.I. LIVRE A QUATRE
Livre qui s’inscrit dans la démarche questions-réponses de Parallélisme et dans la série en cours de « LIVRES » de Claude Jeanmart. Ce temps de confinement est l’occasion de faire appel aux archives, clichés photographiques rapportés de voyages lointains : Guatemala,
Grèce… ou de balades en territoires proches, de la Catalogne et ses rivages méditerranéens, aux anciens pays miniers du nord de la France et ses plages océanes .
Les images prélevées sur un réel qui capte l’intérêt des photographes sont, soit des ensembles soigneusement cadrés comme témoignages, soit des détails isolés par choix plastique .
Aux clichés de Laura Battista et Jordi Cerdà, Claude répond par ses propres clichés choisis pour leur analogie plastique, ou pour leur sens qui entre en résonnance avec ceux proposés par les partenaires.
Les deux images se confrontent, se confortent, s’entre-pénètrent pour proposer des panoramas d’une ampleur qui excède le champ visuel, invitant le spectateur à balayer du regard le format allongé, soit qu’il plonge dans les entrailles métalliques industrielles, soit qu’il se laisse voguer entre ciel, nuages et mer et langue de terre. Entre charge visuelle,
plastique, émotionnelle, se déroule un nouveau récit de rencontre entre pays, artistes et archives.
Denise Jeanmart. octobre 2021
Livre qui s’inscrit dans la démarche questions-réponses de Parallélisme et dans la série en cours de « LIVRES » de Claude Jeanmart. Ce temps de confinement est l’occasion de faire appel aux archives, clichés photographiques rapportés de voyages lointains : Guatemala,
Grèce… ou de balades en territoires proches, de la Catalogne et ses rivages méditerranéens, aux anciens pays miniers du nord de la France et ses plages océanes .
Les images prélevées sur un réel qui capte l’intérêt des photographes sont, soit des ensembles soigneusement cadrés comme témoignages, soit des détails isolés par choix plastique .
Aux clichés de Laura Battista et Jordi Cerdà, Claude répond par ses propres clichés choisis pour leur analogie plastique, ou pour leur sens qui entre en résonnance avec ceux proposés par les partenaires.
Les deux images se confrontent, se confortent, s’entre-pénètrent pour proposer des panoramas d’une ampleur qui excède le champ visuel, invitant le spectateur à balayer du regard le format allongé, soit qu’il plonge dans les entrailles métalliques industrielles, soit qu’il se laisse voguer entre ciel, nuages et mer et langue de terre. Entre charge visuelle,
plastique, émotionnelle, se déroule un nouveau récit de rencontre entre pays, artistes et archives.
Denise Jeanmart. octobre 2021
