LA CABANE |
Par un froid matin de printemps, vers cinq heures, un homme de haute taille, vêtu d’un manteau qui lui tombait jusqu’aux pieds frappa du poing à la porte d’une petite hutte située dans une région déserte et accidentée. Il prêtait l’oreille après chaque coup de poing, le silence régnait dans la hutte. |